Comment réussir Sciences Po, la réputation de cet établissement n’est plus à démontrer sur notre sol national mais aussi international. « Faire Sciences Po » cela n’est pas qu’une affaire de diplôme sur 2 ans et c’est ce que j’ai découvert à travers l’incroyable témoignage d’Alexandre S., un débrouillard issu d’une famille modeste.
Emmanuel Macron, François Hollande, Jacques Chirac ils sont tous passés par Sciences Po Paris la formation royale vers les postes clés de l’état.
La marque Sciences Po évoque à la fois la brillance, l’élitisme, l’excellence mais comporte aussi sa part de mystère. Dans l’univers Sciences Po il n’y a pas de place pour le hasard car cela peut faire tâche (ne prenons pas de risques dans la sélection des candidats) alors comment une personne modeste peut-elle réussir à faire l’impossible et rentrer dans cette institution renommée ?
En questionnant Alexandre, j’ai compris qu’il n’y avait pas que le dossier, la débrouillardise et l’envie de réussir qui ont permis ce succès majeur dans une vie.
La politique n’est pas un sujet nouveau pour Alexandre, déjà petit il aimait écouter les débats et se passionner par les parcours hors normes des grands de l’intelligencia Française.
En le questionnant sur sa vision de la réussite voici les conseils d’un homme modeste et de son destin à jamais changé :
1) Réussir à SciencesPo Paris avec sa passion
Peu importe ce qu’il aurait fait, Alexandre l’aurait fait dans le milieu de la politique. Pour le coup Alexandre n’est pas un opportuniste mais un agriculteur modeste qui sait qu’avec la seule graine qu’il a il peut en faire un fruit. Avez-vous déjà regardé à débat politique ? avez-vous déjà vu l’énergie dégagée ou l’écosystème (journaliste, presse, syndicat, entreprise, lobbyisme) s’animer avec vigueur sur les thèmes électoraux ? Cela a passionné Alexandre depuis tout petit.
Alexandre a une passion débordante pour l’histoire, l’économie, le droit, la philosophie. Bref, Alexandre est passionné par les « sciences » politiques.
Êtes-vous aussi dans son cas ?
2) Être consistant et persévérant dans l’excellence !
Le deuxième élément qu’il m’a témoigné est d’avoir un objectif et ne pas s’arrêter en cours de route. Il ne faut pas se laisser affecter par un échec ni-même par l’environnement qui peut être hostile.
A Sciences Po, la quasi-totalité des étudiants est issue d’un milieu favorisé.
Alexandre n’avait les moyens d’aller en classe préparatoire ou d’être accompagné par un tuteur, aucun problème pour cet autodidacte qui utilisa les cours en ligne et poursuivra son développement seul et en toute autonomie. Il travaillait en parallèle dans un restaurant pour financer ses études.
Il ne souhaitait pas avoir de regret c’est pour ça qu’il a tenté le plus ambitieux des examens.
3) Une rencontre, un mot et le changement d’un destin !
Un soir alors qu’il était déprimé et incertain sur ses études, sa mère lui suggéra de tenter Sciences Po. Est-ce un brin de folie ou un coup de génie ?
Il avait du temps, autant mettre à profit ce temps à un examen et essayer au maximum.
Tel un sportif il alla donc à la bibliothèque tôt le matin pour en repartir tard le soir. En seulement 3 mois, il révisa toutes les épreuves du concours.
Il réussit à passer toutes étapes jusqu’au diplôme.
4) Faire abstraction d’où l’on vient et se focaliser sur où l’on va !
3000 personnes tentent chaque années l’entrée à Science Po Paris, seulement 500 sont admissibles et 250 sont retenues. Il a tenté le coup avec ses doutes mais aussi sa détermination.
Voilà un parfait exemple d’un déterminé qui fera parler de lui tôt ou tard et inspirera j’espère les plus téméraires à persévérer.
Merci Alexandre pour ton interview !